Dilemme
Prisonnier d’un collège à l’étude fervente,
J’ai vu pleurer l’azur en un ciel incertain,
Manifestation du plus ardent destin,
Quand la façon de vivre apparait éprouvante !
Dans les jours de juillet il se peut qu’on se vante,
Cherchant de l’au-delà le rivage lointain,
Celui d’un dieu pervers ne se voulant hautain,
Et qui mène au néant, à la belle épouvante !
Peut-être le besoin de sombre volonté
Te conduira ce jour vers ton éternité ?
Puisqu’il peut revêtir des aspects magnifiques !
Mais tu vas bien souvent soumis à des liqueurs,
Pareil à ce poète aux stances pacifiques
S’efforçant d’enfoncer la porte de nos cœurs !
Vingt septembre dix-neufO