Un jour je monterai
Seigneur de chaque temps, Le voici nécessaire :
Il redonne sa place à l’homme timoré,
Pour être serviteur du Sauveur adoré,
Parmi tous les ennuis, la peine et la misère !
C’est pourquoi très bientôt, oubliant l’adversaire,
Vers les cieux éternels un jour je monterai,
Etages par niveaux, marches après degré,
Faisant du grand amour un lien qu’on resserre !
Quel que soit le péché que vous ayez commis,
Le divin vigneron le considère omis,
Sans tricherie aucune ou désir de vengeance !
Ne t’inquiète pas, le seul Maître vivant,
Dessus les dieux muets, déclare à son engeance :
La bise du matin se brise sur l’auvent !
Quatre janvier dix-neuf O