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Est-ce tout ?
 

J’ai perçu du néant cette beauté que j’aime,
Comme ces oiseaux morts dérivant dans l’azur,
Déshérence des jours où le mal-être est sûr,
Vois le violent flux gonfler l’horizon même !
 

Au cri des passereaux le matin se fit blême,
Quand le pantocrator au blasphème si pur,
Jeta depuis le bois et dans un geste mûr,
Son généreux pardon pareil à cet emblème !
 

Toi qui fais du quidam ton ultime attribut,
Comme si ton prochain s’était trompé de but,
Que ta seule parole éloigne l’anarchie !
 

Sens le ciel s’affermir quand rien ne tient debout ;
O l’immense grandeur d’une tête blanchie !
Mais Seigneur mon ami l’épreuve serait tout ?
 


                                           Douze octobre dix-septO
Hallelujah