Le crime parfait
Je demande son nom, l’un me dit : « c’est la vie ! »
Ou le Prince des jours qu’on voit auparavant,
Menacer la tempête et la force du vent,
Et l’autre : « la bonté par la gloire suivie ! »
De la chute de l’homme il n’en avait envie,
Mais regarde déchoir le fier engoulevent,
Cet oiseau si frondeur qu’on aperçoit souvent,
D’un coup d’aile, bannir l’aurore inassouvie !
Mais n’as-tu jamais vu le Sauveur sur le bois,
Ce châtiment pervers qu’on observe parfois,
Au milieu du silence ou des bruits de tonnerres !
Les anges à genoux alors qu’Il expirait,
Bataillons d’au-delà, vaillants légionnaires,
Firent de cet instant le crime si parfait !
Vingt-huit septembre dix-septO