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Chagrin
 

S’il te plaît ô mon Dieu brise ma solitude,
Mais  l’autre en son discours me paraît si peu sûr,
Comme un oiseau qui meurt aux confins de l’azur,
Acceptant sans férir la mystique hébétude !
 

Des temps inabolis j’ai vu la plénitude,
Et il m’aura fallu ce flux combien impur,
Pour chasser du tombeau le facies le plus dur,
Lorsque dans la fureur le bonheur on élude !
 

Il pleut dedans la nue et je dois m’en aller,
Comme le ton d’un ciel que l’on voit s’étoiler,
Au jour du nœud mortel impossible à défaire !
 

S’il me faut un chagrin plus fort que les amours,
Seule émanation de l’astre funéraire,
C’est mon tour de pleurer pour l’ultime secours !
 


                                     Vingt-huit juillet dix-septO
O
Hallelujah